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vendredi 10 décembre 2010
mardi 7 décembre 2010
baden baden HD
J'ai vécu 4 ans dans cette merveilleuse ville......tu te souviens Alessandra...? BFB et Baden...
lundi 6 décembre 2010
dimanche 5 décembre 2010
Le jardin du haut Guise
Parcs, promenades et jardins sont au Familistère des prolongements du logis. Ces équivalents de la richesse remplissent des fonctions esthétiques, récréatives, hygiéniques, économiques et éducatives. Le Jardin d’agrément en est le plus remarquable recueil. Il est à plusieurs titres le jardin historique du Palais social : il existe avant la construction de la cité, son aménagement pittoresque veut évoquer un état primitif de la civilisation, il présente un condensé de l’histoire du site, c’est un lieu privilégié de la mémoire du Familistère.
Le terrain en forte pente se situe sur la rive droite de l’Oise entre l’usine et le Palais. La partie basse du jardin est acquise et aménagée en 1856 pour l’usage privé de Jean-Baptiste-André Godin, avant que soit décidée la construction du Palais social. Il est intégré au projet du Familistère dès 1858. Une parcelle contiguë au nord est acquise et aménagée par l’Association coopérative du Capital et du Travail après 1880 pour former un ensemble paysager de 1,2 hectares. Cet espace non bâti tient la cité à distance des fumées de l’usine ; les habitants s’y détendent à l’écart de l’agitation du Palais.
L’agrément du jardin tient à l’aménagement pittoresque de la partie la plus accidentée du terrain et à la succession des zones arborées et des espaces dégagés. Une hutte en bois avec couverture de chaume, peut-être construite dès 1856, constitue l’attraction de la partie ouest du jardin. Le vis-à-vis de ce pavillon rustique et de l’habitation des temps modernes - le Palais - est un raccourci de l’histoire de l’habitation humaine auquel Jean-Baptiste-André Godin consacre un long chapitre dans Solutions sociales (1871). La silhouette du donjon du château des ducs de Guise, qui apparaît par-dessus les toits du Palais, complète la signification du paysage. Trois bassins à l’architecture variée se succèdent dans le sens de la pente vers l’Oise. Le mobilier comprend des statues, répliques d’œuvres réputées, des vases et bancs en fonte de fer produits par la manufacture de Guise.
Le jardin d’agrément du Familistère est aussi un jardin de rapport. Des arbres fruitiers sont plantés à partir de 1880. A l’est, où la pente du terrain est plus douce, est cultivé dès l’origine un potager. Une serre est rapidement construite ; une seconde serre sera rapportée après 1945. Le potager collectif devait approvisionner à moindres frais les magasins du Palais social en légumes. Le rôle du potager dans l’économie domestique familistérienne va s’effacer au profit d’une fonction éducative. Les premiers locataires du Palais – souvent d’origine rurale – vont, en 1860, obtenir de Godin la possibilité de cultiver des jardins individuels sur les parcelles laissées libres par le projet d’aménagement urbain. Leur initiative rend caduque la production unitaire. Le potager devient un atelier pédagogique pour les enfants des écoles du Familistère.
Le jardin devient un lieu important de commémoration lorsque l’Association érige en 1889 un mausolée sur la tombe de J.-B-A. Godin. Il est élevé à l’extrémité nord du jardin, sur un promontoire d’où l’œil du visiteur peut le mieux embrasser l’œuvre du fondateur du Familistère.
L’activité industrielle fait irruption dans cet espace « naturel » protégé. Le jardin est baptisé par les familistériens le « jardin du haut » ou le « jardin aux pieds noirs ». Du sable de fonderie était en effet utilisé comme revêtement des allées. Surtout, la voie de chemin de fer raccordant l’usine du Familistère à la gare de Guise et au réseau régional va être réalisée en 1900 par l’Association coopérative en pratiquant une longue saignée à travers le jardin. Une passerelle doit être construite par-dessus la voie pour relier la partie haute du jardin où se trouve le mausolée, légèrement désaxé par rapport à la nouvelle allée dont il forme la perspective.
http://www.familistere.com/site/plan.php
Le terrain en forte pente se situe sur la rive droite de l’Oise entre l’usine et le Palais. La partie basse du jardin est acquise et aménagée en 1856 pour l’usage privé de Jean-Baptiste-André Godin, avant que soit décidée la construction du Palais social. Il est intégré au projet du Familistère dès 1858. Une parcelle contiguë au nord est acquise et aménagée par l’Association coopérative du Capital et du Travail après 1880 pour former un ensemble paysager de 1,2 hectares. Cet espace non bâti tient la cité à distance des fumées de l’usine ; les habitants s’y détendent à l’écart de l’agitation du Palais.
L’agrément du jardin tient à l’aménagement pittoresque de la partie la plus accidentée du terrain et à la succession des zones arborées et des espaces dégagés. Une hutte en bois avec couverture de chaume, peut-être construite dès 1856, constitue l’attraction de la partie ouest du jardin. Le vis-à-vis de ce pavillon rustique et de l’habitation des temps modernes - le Palais - est un raccourci de l’histoire de l’habitation humaine auquel Jean-Baptiste-André Godin consacre un long chapitre dans Solutions sociales (1871). La silhouette du donjon du château des ducs de Guise, qui apparaît par-dessus les toits du Palais, complète la signification du paysage. Trois bassins à l’architecture variée se succèdent dans le sens de la pente vers l’Oise. Le mobilier comprend des statues, répliques d’œuvres réputées, des vases et bancs en fonte de fer produits par la manufacture de Guise.
Le jardin d’agrément du Familistère est aussi un jardin de rapport. Des arbres fruitiers sont plantés à partir de 1880. A l’est, où la pente du terrain est plus douce, est cultivé dès l’origine un potager. Une serre est rapidement construite ; une seconde serre sera rapportée après 1945. Le potager collectif devait approvisionner à moindres frais les magasins du Palais social en légumes. Le rôle du potager dans l’économie domestique familistérienne va s’effacer au profit d’une fonction éducative. Les premiers locataires du Palais – souvent d’origine rurale – vont, en 1860, obtenir de Godin la possibilité de cultiver des jardins individuels sur les parcelles laissées libres par le projet d’aménagement urbain. Leur initiative rend caduque la production unitaire. Le potager devient un atelier pédagogique pour les enfants des écoles du Familistère.
Le jardin devient un lieu important de commémoration lorsque l’Association érige en 1889 un mausolée sur la tombe de J.-B-A. Godin. Il est élevé à l’extrémité nord du jardin, sur un promontoire d’où l’œil du visiteur peut le mieux embrasser l’œuvre du fondateur du Familistère.
L’activité industrielle fait irruption dans cet espace « naturel » protégé. Le jardin est baptisé par les familistériens le « jardin du haut » ou le « jardin aux pieds noirs ». Du sable de fonderie était en effet utilisé comme revêtement des allées. Surtout, la voie de chemin de fer raccordant l’usine du Familistère à la gare de Guise et au réseau régional va être réalisée en 1900 par l’Association coopérative en pratiquant une longue saignée à travers le jardin. Une passerelle doit être construite par-dessus la voie pour relier la partie haute du jardin où se trouve le mausolée, légèrement désaxé par rapport à la nouvelle allée dont il forme la perspective.
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Les dangers du jardinage
Des chercheurs de l'université Paris-Descartes confirment que les pesticides pourraient déclencher la maladie de Parkinson. Lire la suite l'article
Les épidémiologistes soupçonnaient depuis longtemps les pesticides de favoriser la maladie de Parkinson. Une équipe de chercheurs de l'université Paris-Descartes le confirme, avec un bémol : cela dépend du profil génétique des utilisateurs. La relation entre l'exposition à des insecticides organochlorés et la maladie est 3,5 fois plus fréquente chez les porteurs de deux copies de certains gènes du polymorphisme. Ces gènes produisent des enzymes qui semblent détériorer les neurones fabriquant la dopamine, un neuromédiateur dont les dysfonctionnements sont à l'origine des tremblements caractéristiques de la maladie.
http://www.lexpress.fr/actualite/indiscrets/les-dangers-du-jardinage_902511.html#xtor=AL-447
Les épidémiologistes soupçonnaient depuis longtemps les pesticides de favoriser la maladie de Parkinson. Une équipe de chercheurs de l'université Paris-Descartes le confirme, avec un bémol : cela dépend du profil génétique des utilisateurs. La relation entre l'exposition à des insecticides organochlorés et la maladie est 3,5 fois plus fréquente chez les porteurs de deux copies de certains gènes du polymorphisme. Ces gènes produisent des enzymes qui semblent détériorer les neurones fabriquant la dopamine, un neuromédiateur dont les dysfonctionnements sont à l'origine des tremblements caractéristiques de la maladie.
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"Rendez-vous aux jardins" ce week end
La 8e édition du "Rendez-Vous aux Jardins" propose, de vendredi à dimanche, de découvrir plus de 2.000 lieux à travers la France, du parc tri-centenaire de Matignon à un jardin privé planté de multiples pivoines japonaise dans le Gard.
Visites guidées, ateliers, conférences, concerts : 1,5 million de visiteurs sont attendus au cours des ces trois journées, avec en particulier nombre d'activités pour les scolaires le vendredi.
Certains sites seront ouverts au public pour la première fois, ou à titre exceptionnel à l'occasion de cette manifestation organisée par le ministère de la Culture. A Paris, le parc de l'hôtel de Matignon, qui compte 348 arbres sur 2 hectares, ouvrira ses portes. Toujours dans le centre de la capitale, les Archives nationales ouvrent leurs cours et jardins: le jardin à la française de l'Hôtel de Rohan et le jardin à l'anglaise de l'Hôtel d'Assy (XVIIIe siècle).
A Aigaliers, dans le Gard, le jardin privé du Mas des tilleuls, permettra aux visiteurs de se pencher sur ses 15 variétés de palmiers et une trentaine de variétés de pivoines japonaises. A Briançon (Hautes-Alpes), le jardin du gouverneur, ancien jardin potager du couvent des Ursulines (XVIIIe siècle) dans l’enceinte fortifiée, sera exceptionnellement ouvert.
Le programme complet, région par région, est disponible sur internet www.rendezvousauxjardins.culture.fr. La grande majorité des lieux sont en accès gratuit mais quelques-uns sont payants.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/06/03/97001-20100603FILWWW00412-rendez-vous-aux-jardins-ce-week-end.php
Visites guidées, ateliers, conférences, concerts : 1,5 million de visiteurs sont attendus au cours des ces trois journées, avec en particulier nombre d'activités pour les scolaires le vendredi.
Certains sites seront ouverts au public pour la première fois, ou à titre exceptionnel à l'occasion de cette manifestation organisée par le ministère de la Culture. A Paris, le parc de l'hôtel de Matignon, qui compte 348 arbres sur 2 hectares, ouvrira ses portes. Toujours dans le centre de la capitale, les Archives nationales ouvrent leurs cours et jardins: le jardin à la française de l'Hôtel de Rohan et le jardin à l'anglaise de l'Hôtel d'Assy (XVIIIe siècle).
A Aigaliers, dans le Gard, le jardin privé du Mas des tilleuls, permettra aux visiteurs de se pencher sur ses 15 variétés de palmiers et une trentaine de variétés de pivoines japonaises. A Briançon (Hautes-Alpes), le jardin du gouverneur, ancien jardin potager du couvent des Ursulines (XVIIIe siècle) dans l’enceinte fortifiée, sera exceptionnellement ouvert.
Le programme complet, région par région, est disponible sur internet www.rendezvousauxjardins.culture.fr. La grande majorité des lieux sont en accès gratuit mais quelques-uns sont payants.
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samedi 15 mai 2010
Jardinage - C'est le moment de planter les arbres
Les arbres en fleur, c’est magnifique. Mais il faut déjà penser à l’année prochaine : nous sommes en période de plantation. Et avant de mettre en terre, voici donc l’heure du choix. Que mettre dans votre jardin ? Si l’on excepte les traditionnels chênes, pins, tilleuls ou saules pleureurs, il est des arbres très faciles à cultiver auxquels on ne pense pas et qui pourtant sont superbes. Voici quatre suggestions, parmi les plus beaux arbres, qui ne vous décevront pas.
Le prunus - décoratif Il aime les sols riches et drainés, neutres ou calcaires. Sa hauteur peut aller de 5 à 12 mètres. Son habit de fleurs roses ou blanches est un ravissement au printemps. A l’approche de l’hiver, ce sont ses feuilles qui enchantent. Choisissez la variété pour avoir la bonne taille.
L’arbre de Judée - On dit que Judas s’est pendu à cet arbre après avoir trahi Jésus. Ses fleurs sont les larmes du Christ… Justement, ces fleurs sont rares car elles poussent directement sur les branches et sur le tronc. Durée de vie de l’arbre : cent ans ! Il apprécie lui aussi le calcaire. Il existe une variété à fleurs blanches, mais elle n’est pas facile à trouver.
L’aubépine rose - C’est la plus originale des trois teintes (blanche, rouge, rose) que peut proposer l’aubépine. Elle peut faire une belle haie. A mettre au soleil, dans un sol ordinaire.
Le magnolia - Cet arbre cher à Claude François aime la terre acide. Il ne fleurit que quelques jours (de dix à douze), mais quelle beauté ! Et après les fleurs, les feuilles sont superbes, d’un vert foncé et gras.
Agenda vert
Taillez - Les lilas commencent à s’étioler, c’est le moment de tailler car le lilas se taille tout de suite après avoir fleuri. Pour une future belle floraison, coupez les fleurs fanées avant apparition des fruits. Si votre arbuste est chétif, attendez novembre pour le rabattre sévèrement mais vous n’aurez pas de fleurs l’année suivante.
Replantez - Votre muguet commence à dépérir ? Pensez à l’an prochain, replantez-le. On parle du muguet en pots, bien sûr. Mettez-le dans un endroit ombrageux et légèrement humide, par exemple sous un arbre. Quand celui-ci perdra ses feuilles, votre muguet sera servi en humus, il adore ça.
Visitez Une visite au Parc floral de La Source, à Orléans, n’est jamais décevante. Fleurs, arboretum, massifs, c’est vraiment un régal ! En ce moment, le thème est celui des traversées imaginaires. Allez-y, c’est plein de surprises.
Tél. : 02.38.49.30.00, www.parcfloraldelasource.com
Notez Entourez la date du 30 mai sur votre agenda : une centaine de jardins privés de Rhône-Alpes, Bourgogne, Franche-Comté et Auvergne seront ouverts ce jour-là au profit de la recherche sur les maladies cérébrales.
Tél. : 04.78.45.77.28.
Questionnez Dans votre courrier, une question de Françoise Saval, du Périgord : « Mon ficus perd ses feuilles. Pourquoi ? » Ma réponse est qu’un ficus d’intérieur perd quelques feuilles à l’automne et c’est normal. Mais actuellement c’est plus grave. A mon avis, il manque de lumière : rapprochez-le de la fenêtre. Ou bien peut-être est-il à l’étroit dans son pot : rempotez-le !
La tulipe noire
Elle a toujours intrigué. En 1672, Cornélius Van Baerg cherchait la tulipe noire, la Société horticole hollandaise promettait 100.000 florins à qui la trouverait. En 1850, Alexandre Dumas écrivait un roman sous ce titre. Et en 1964, Christian-Jaque réalisait un film sous le même titre, avec Alain Delon et Virna Lisi. Aujourd’hui, la tulipe noire existe, créée par croisements successifs. Ce fut long et progressif. A vrai dire, elle n’est pas tout à fait noire, mais elle attire toujours les curiosités. Vous pouvez en avoir à la maison ou dans le jardin. Facile à faire : il suffit de planter les bulbes, et vous laissez pousser…
France Soir
Le prunus - décoratif Il aime les sols riches et drainés, neutres ou calcaires. Sa hauteur peut aller de 5 à 12 mètres. Son habit de fleurs roses ou blanches est un ravissement au printemps. A l’approche de l’hiver, ce sont ses feuilles qui enchantent. Choisissez la variété pour avoir la bonne taille.
L’arbre de Judée - On dit que Judas s’est pendu à cet arbre après avoir trahi Jésus. Ses fleurs sont les larmes du Christ… Justement, ces fleurs sont rares car elles poussent directement sur les branches et sur le tronc. Durée de vie de l’arbre : cent ans ! Il apprécie lui aussi le calcaire. Il existe une variété à fleurs blanches, mais elle n’est pas facile à trouver.
L’aubépine rose - C’est la plus originale des trois teintes (blanche, rouge, rose) que peut proposer l’aubépine. Elle peut faire une belle haie. A mettre au soleil, dans un sol ordinaire.
Le magnolia - Cet arbre cher à Claude François aime la terre acide. Il ne fleurit que quelques jours (de dix à douze), mais quelle beauté ! Et après les fleurs, les feuilles sont superbes, d’un vert foncé et gras.
Agenda vert
Taillez - Les lilas commencent à s’étioler, c’est le moment de tailler car le lilas se taille tout de suite après avoir fleuri. Pour une future belle floraison, coupez les fleurs fanées avant apparition des fruits. Si votre arbuste est chétif, attendez novembre pour le rabattre sévèrement mais vous n’aurez pas de fleurs l’année suivante.
Replantez - Votre muguet commence à dépérir ? Pensez à l’an prochain, replantez-le. On parle du muguet en pots, bien sûr. Mettez-le dans un endroit ombrageux et légèrement humide, par exemple sous un arbre. Quand celui-ci perdra ses feuilles, votre muguet sera servi en humus, il adore ça.
Visitez Une visite au Parc floral de La Source, à Orléans, n’est jamais décevante. Fleurs, arboretum, massifs, c’est vraiment un régal ! En ce moment, le thème est celui des traversées imaginaires. Allez-y, c’est plein de surprises.
Tél. : 02.38.49.30.00, www.parcfloraldelasource.com
Notez Entourez la date du 30 mai sur votre agenda : une centaine de jardins privés de Rhône-Alpes, Bourgogne, Franche-Comté et Auvergne seront ouverts ce jour-là au profit de la recherche sur les maladies cérébrales.
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Questionnez Dans votre courrier, une question de Françoise Saval, du Périgord : « Mon ficus perd ses feuilles. Pourquoi ? » Ma réponse est qu’un ficus d’intérieur perd quelques feuilles à l’automne et c’est normal. Mais actuellement c’est plus grave. A mon avis, il manque de lumière : rapprochez-le de la fenêtre. Ou bien peut-être est-il à l’étroit dans son pot : rempotez-le !
La tulipe noire
Elle a toujours intrigué. En 1672, Cornélius Van Baerg cherchait la tulipe noire, la Société horticole hollandaise promettait 100.000 florins à qui la trouverait. En 1850, Alexandre Dumas écrivait un roman sous ce titre. Et en 1964, Christian-Jaque réalisait un film sous le même titre, avec Alain Delon et Virna Lisi. Aujourd’hui, la tulipe noire existe, créée par croisements successifs. Ce fut long et progressif. A vrai dire, elle n’est pas tout à fait noire, mais elle attire toujours les curiosités. Vous pouvez en avoir à la maison ou dans le jardin. Facile à faire : il suffit de planter les bulbes, et vous laissez pousser…
France Soir
vendredi 14 mai 2010
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mercredi 12 mai 2010
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Un jardin géant sur les Champs-Elysées
Vingt ans après le succès de la Grande Moisson, Gad Weil, metteur en scène d’art de rue, revient sur les Champs-Elysées avec Nature Capitale : la métamorphose de la plus belle avenue du monde en un gigantesque jardin de trois hectares. L’événement aura lieu les 23 et 24 mai, à l’occasion de la Journée mondiale de la biodiversité.
Orchestré également par la paysagiste Laurence Médioni, ce « jardin » sera extraordinaire : plus de 150000 arbres, répartis en quatre forêts, et 150 espèces végétales formeront une fresque de 1 km de long sur 27 m de large. La mosaïque de 8000 parcelles de 1,2 m2 chacune sera aménagée dans la nuit du samedi au dimanche, par plus de 600 agriculteurs et techniciens.
Blé, betteraves, pommes de terre, haricots, tomates, arbres fruitiers… « Notre objectif est de montrer et de défendre la diversité de l’agriculture française, précise Carole Doré, la vice-présidente du syndicat Jeunes Agriculteurs, partenaire de l’opération. Nous avons mis à contribution les onze régions où nous sommes représentés. Ce sera une France en miniature, avec toute la variété de ses paysages, du bocage normand aux grandes plaines de la Beauce, en passant par les prairies des montagnes… » Le public pourra profiter aussi d’animations, d’un marché du terroir et de la présence d’une soixantaine d’animaux : veaux, vaches, cochons, poulets…
« L’art de la rue est en général un art mineur, affirme Gad Weil. Mais les 23 et 24 mai, il deviendra généreux et poétique. Imaginez les dialogues absurdes et surréalistes que l’on pourra surprendre entre les feux tricolores et les arbres de la forêt… J’espère que le public viendra en nombre, car l’événement est gratuit et accessible à tous. Je crois en la communion collective. Souvenez-vous de la victoire de la Coupe du monde de football en 1998! »
Nature Capitale, les 23 et 24 mai, sur l’avenue des Champs-Elysées.
Le Parisien
Orchestré également par la paysagiste Laurence Médioni, ce « jardin » sera extraordinaire : plus de 150000 arbres, répartis en quatre forêts, et 150 espèces végétales formeront une fresque de 1 km de long sur 27 m de large. La mosaïque de 8000 parcelles de 1,2 m2 chacune sera aménagée dans la nuit du samedi au dimanche, par plus de 600 agriculteurs et techniciens.
Blé, betteraves, pommes de terre, haricots, tomates, arbres fruitiers… « Notre objectif est de montrer et de défendre la diversité de l’agriculture française, précise Carole Doré, la vice-présidente du syndicat Jeunes Agriculteurs, partenaire de l’opération. Nous avons mis à contribution les onze régions où nous sommes représentés. Ce sera une France en miniature, avec toute la variété de ses paysages, du bocage normand aux grandes plaines de la Beauce, en passant par les prairies des montagnes… » Le public pourra profiter aussi d’animations, d’un marché du terroir et de la présence d’une soixantaine d’animaux : veaux, vaches, cochons, poulets…
« L’art de la rue est en général un art mineur, affirme Gad Weil. Mais les 23 et 24 mai, il deviendra généreux et poétique. Imaginez les dialogues absurdes et surréalistes que l’on pourra surprendre entre les feux tricolores et les arbres de la forêt… J’espère que le public viendra en nombre, car l’événement est gratuit et accessible à tous. Je crois en la communion collective. Souvenez-vous de la victoire de la Coupe du monde de football en 1998! »
Nature Capitale, les 23 et 24 mai, sur l’avenue des Champs-Elysées.
Le Parisien
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