jeudi 30 juin 2011

Quel est ce nouveau site français inscrit au Patrimoine de l'Unesco?

Mardi est un grand jour pour les Causses et les Cévennes et pour la reconnaissance du patrimoine français. Ce territoire de 3000 kilomètres carrés, réparti entre l'Aveyron, la Lozère, le Gard et l'Hérault, est entré au Patrimoine mondial de l'Unesco. Le Comité de l'organisation onusienne avait repoussé en 2006 et 2009 le dossier français, doutant d'abord de la valeur universelle exceptionnelle du patrimoine présenté. Puis le candidat a fait valoir ses attributs. L'agropastoralisme, fondé sur l'élevage non-intensif des brebis, qui donne le Roquefort, et contribue à "modeler et entretenir l'espace". Soit la culture des bergers qui ont façonné ces paysages pendant des millénaires. Pari gagné.

Dans ces espaces immenses que longent aujourd'hui les autoroutes Clermont-Ferrand-Montpellier à l'ouest et Lyon-Marseille loin à l'est, les hommes ont dressé des dizaines de menhirs à La Cham des Bondons, en Lozère, à l'époque où ils se sont sédentarisés sur ses sols où la roche affleure sous l'herbe rare. Plus de 4.000 ans après, ils se livraient encore il y a quelques jours à la pratique ancestrale de la transhumance sur une terre parmi les moins densément peuplées de France.




Les bois couvraient autrefois la quasi-totalité du territoire. L'élevage extensif et la culture, dans les dolines - dépressions circulaires - ou sur les terrasses, ont dégagé l'espace et conféré une unité à des paysages contrastés : à l'ouest, les imposants plateaux calcaires des Causses - Larzac, Causse Méjean -, incisés par les gorges du Tarn, de la Dourbie ou de la Jonte. A l'est, les vallées cévenoles boisées. Au milieu et au nord, les massifs granitiques - mont Lozère, mont Aigoual -, qui culminent à 1.699 m et où est juchée la dernière station météo de montagne habitée en France. Par temps clair, on distingue le mont Blanc à l'est, la Méditerranée au sud, les Pyrénées au sud-ouest. Ces étendues grandioses de plateaux pelés et de puissants massifs ont bien mérité de rejoindre la trentaine de sites français déjà distingués.

NKM "saisie par la beauté des paysages vivants" du site

La ministre de l'Ecologie et du Développement durable, Nathalie Kosciusko-Morizet, s'est dite un peu plus tard "saisie par la beauté des paysages vivants" du site. "Lors de mon déplacement en mai dernier à Mende pour soutenir le dossier, j'ai été saisie par la beauté de ces paysages vivants où l'homme imprime sa trace en parfaite harmonie avec la nature, depuis trois millénaires", a indiqué la ministre dans un communiqué. Selon elle, la distinction obtenue "consacre la relation fusionnelle que l'homme et la nature ont su entretenir" dans ce territoire.

http://lci.tf1.fr/science/environnement/2011-06/un-nouveau-territoire-francais-inscrit-au-patrimoine-mondial-6553560.html

mercredi 29 juin 2011

Jardin pour tous les sens

HAUSSIMONT (Marne). Après un jardin humide et un autre pédagogique, Haussimont vient d'aménager un jardin sensoriel adapté aux personnes handicapées et un bois pédagogique. L'ensemble est le seul du genre dans la région.

C'EST UN JARDIN pour les cinq sens. Que ceux ou celles qui n'en ont malheureusement que quatre pourront aussi bien apprécier. Haussimont vient d'inaugurer un jardin sensoriel, « unique en Champagne-Ardenne », selon Bruno Roulot, le maire de la commune de 140 habitants située aux confins du Sud marnais.
Feuilles à caresser, baies à manger
À quelques centaines de mètres des bas-côtés remplis de déchets de la nationale 4 et au beau milieu de la plaine, bienvenue dans cette commune qui s'est baptisée, « l'oasis de Champagne », village 4 fleurs, grand prix national depuis 1989. Les maîtres mots de la commune à la féculerie sont depuis plusieurs années : fleurissement, embellissement, développement durable.
Après un jardin humide, une place et un premier jardin pédagogique réalisés en 2007, Haussimont offre aujourd'hui aux visiteurs son jardin sensoriel, « pas pour personnes handicapées, mais pour tout le monde », remarque Bruno Roulot.
L'endroit a été conçu par un architecte spécialisé. Les allées de sable fin sont un billard pour les fauteuils roulant. Les vivaces aux épaisses feuilles se laissent caresser. Les groseilles et les framboises se laissent sentir et déguster. « Le jardin est divisé en différentes chambres, du goût, de l'ouïe, du toucher, explique Bruno Roulot, là, pour l'ouïe, nous avons une fontaine, des arbres dont les feuilles bruissent. »
Et des bornes d'information sonores, des panneaux en braille, des couleurs vives au sol.

Label « tourisme et handicap » en vue

Ainsi que des flash codes, ses drôles de signes, qui photographiés par un téléphone portable, permettent d'accéder à une foule d'information via internet au sujet des plantes ou des oiseaux. À quelques mètres de ce jardin, « du partage et de l'espérance », un bois pédagogique.
« Un sentier traverse ce bois, montre Bruno Roulot, il y des panneaux explicatifs, une mare, une éolienne, un promontoire d'où on peut embrasser du regard tout le bois. » Un jardinier vient d'être recruté par la mairie. Ils sont dorénavant deux à veiller sur le patrimoine naturel de la commune.
Coût du jardin sensoriel et du bois pédagogique : un peu moins de 800 000 euros, « financé à 40 % par la municipalité », selon Bruno Roulot, qui assume ce choix. « L'amélioration de l'attractivité des zones rurales passe par un cadre de vie irréprochable », martèle-t-il. La coquette enveloppe comprend aussi la rénovation d'une ancienne maison de garde barrière, qui servira de lieu d'accueil et de repos pour les visiteurs. « Nous avons quelques groupes scolaires, et des demandes de visites de groupes, mais nous ne sommes encore pas assez connus. »
La commune espère bientôt décrocher un label « tourisme et handicap » pour son jardin sensoriel. Un label qui pourrait faire connaître « l'oasis de Champagne » au-delà des plaines du Sud marnais.

http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/jardin-pour-tous-les-sens
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lundi 27 juin 2011

samedi 25 juin 2011

jeudi 23 juin 2011

mercredi 22 juin 2011

Borderouge. Réouverture des jardins du Muséum

Les jardins du Muséum rouvrent leurs portes aujourd'hui avec de nombreuses surprises. Ce havre de paix mêle toujours potagers, cascades et promenades. Mais le concept évolue. « On a souhaité valoriser la qualité d'accueil et le confort des visiteurs » explique Olivier Puertas, le responsable des jardins. La zone de promenade offre différentes options au public. Dès l'entrée des jardins, une ombrière accueille les visiteurs. « On l'a conçue principalement pour les gens du quartier. À terme, on veut qu'ils se l'approprient comme une place publique ».
Pourtant les jardins étaient délaissés. La faute à une trop forte exposition au soleil, des promenades inadaptées et un manque réel de places assises.
Depuis sept mois, les travaux ont mis un terme à ces vices. Aujourd'hui, l'ombrière accueille plusieurs bancs publics. Et ils ne sont pas seuls. Sur les 3 000 m2 du jardin, les places assises se multiplient. Tout comme les bornes d'eau potable.
Inaugurés le 2 février 2008, les jardins du Muséum deviennent plus accessibles. Notamment pour les personnes à mobilité réduite. Exit l'escalier d'1 mètre 20 de large pour accéder aux passerelles. Les rambardes sont à présent adaptées au public.
Autre nouveauté : une structure surplombe les jardins. « Les plantes maraîchères sont mises en relief avec cette passerelle. Les visiteurs perçoivent le site différemment ». Ce pont traversant dévoile une vue imprenable sur les carrés de céréales et plantes aromatiques venants du monde entier.
Et pour satisfaire la curiosité des visiteurs, des bornes interactives ont été mises en places. « On est dans une démarche pédagogique. On a également installé des signalétiques » confie Olivier Puertas.
« Pourquoi le jardin est-il vide à certains moments de l'année ? » Voilà une des nombreuses questions pour lesquelles les jardins du Muséum vous livreront leurs secrets.http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/21/1111842-borderouge-reouverture-des-jardins-du-museum.html

mardi 21 juin 2011

samedi 18 juin 2011

Bellecour se met au vert

La place se transforme en jardin géant avec des animations pour les familles. Programme

Une création végétale artistique

Créée par Gad Weil, metteur en scène d’arts de la rue, et Laurence Médioni, plasticienne et paysagiste, Nature Capitale veut émerveiller les visiteurs mais aussi les interroger, dans une ambiance festive, sur leur rapport à l’environnement, sur la place de la nature dans la ville, etc.

Une mosaïque de parcelles

Ce n’est pas un jardin plaqué artificiellement sur la place Bellecour : les deux concepteurs se sont nourris de son passé (marécage, vignoble, marché aux fleurs) pour réunir une mosaïque de 4 000 petites parcelles sur 16 500 m². Elles ont été produites, pour les arbres et les cultures agricoles, à Dammarie-les-Lys (77) où se situent les jardins de Nature Capitale et pour les plantes potagères dans la région avec le Centre de ressources de botanique appliquée.

Un jardin fait pour durer

Les végétaux déployés ne termineront pas leur vie dimanche soir.
lls seront acheminés, grâce au soutien des partenaires de l’opération, dans des établissements scolaires, des jardins associatifs, des lieux publics, des parcs de l’agglomération.

Un espace détente

La Ville de Lyon propose un espace dédié à la détente de 250 m². Entouré de hauts bambous et de plantes aromatiques ou colorées (thym, campanules, origan, menthe, romarin), il offre une pause sur des transats ou des troncs d’arbres.
A l’ombre de toiles et de parasols, les curieux découvriront une bibliothèque éphémère. De 10 à 18 heures, des ateliers sont proposés aux familles, et plus particulièrement aux enfants.

Des animations pour tous

Un atelier sur les ressources génétiques de la nature et la création de variétés nouvelles de roses est organisé avec la Société française des roses.
Samedi de 14 à 16 heures
Des jeux sur la pollinisation et la sauvegarde des abeilles sauvages sont proposés avec l’association « Arthropologia ».
Les familles apprendront à fabriquer des nichoirs à abeilles qui permettent d’attirer et d’observer les insectes sauvages chez eux. Des jeux sont prévus autour du rôle et de la vie de ces insectes pollinisateurs.
Samedi et dimanche, de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures
A la découverte de la vie du sol et de la diversité des graines avec la présentation des différentes terres ou du rôle du compost avec l’association « Jardins vivants ».
Un atelier où les enfants peuvent circuler en autonomie sur trois ou quatre mini-ateliers et réaliser des semis.
Samedi et dimanche, de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures
Nature Capitale Lyon, aujourd’hui et demain, de 7 à 23 heures. Dimanche 19 juin, de 7 à 22 heures. Place Bellecour. Entrée gratuite. www.naturecapitale.com


jeudi 16 juin 2011

Cinq éco-gestes pour cultiver son jardin

Jardiner, c'est bien, jardiner de manière responsable, c'est mieux. Néoplanète et Noé Conservation livrent leur guide des bonnes pratiques pour un jardinage écolo...
Les Français sont des jardiniers en herbe: avec plus d’un million d’hectares de jardins dans le pays et 17 millions d’aficionados, le jardinage est devenu un art de vivre. Porte ouverte à l’exploration de la nature, il a un rôle primordial, surtout en zones d’agriculture intensive ou périurbaine, car il permet de relier les écosystèmes entre eux. Voici dix gestes simples issus de la charte d’engagements des Jardins de Noé pour bêcher sans polluer.

JE LAISSE UN COIN DE JARDIN AU NATUREL

Contrairement aux idées reçues, les mauvaises herbes et les bébêtes dites nuisibles ont beaucoup à offrir à nos jardins ! Arrêtons notre obsession de la propreté et laissons-leur un coin à l’état sauvage. Il sera colonisé par des espèces de plus en plus rares à observer. Sans aucune intervention supplémentaire, vous ferez de votre jardin un vrai refuge pour les petits animaux et les végétaux ! À vous, les jolis coquelicots et les fraisiers des bois !

J’AMÉNAGE MON JARDIN POUR LES ANIMAUX

Les animaux sauvages ont parfois besoin d’un coup de pouce ! Alors, aménagez-leur, dans votre jardin, des abris (pour les oiseaux, les insectes ou les petits mammifères), une mare ou un point d’eau, et plantez une haie champêtre avec des essences d’arbres locaux (arbres fruitiers, ormes, charmes…). Vous rendrez ainsi votre bout de terre plus accueillant pour la biodiversité et vous contribuerez également à la sauvegarde de nombreuses espèces végétales et animales !

JE RÉDUIS MA CONSOMMATION D’EAU

« À boire ! » supplie le jardin. « Oui, mais avec parcimonie », répond le jardinier responsable, car cette ressource devient de plus en plus rare ! En un siècle, les sources se sont appauvries de 40 %. Et cet été promet d’être bien sec. Alors, récupérez les eaux de pluie pour arroser votre jardin et privilégiez les fleurs et les arbustes locaux peu gourmands en eau.

JE PLANTE DES ESPÈCES LOCALES

Pour laisser une chance à la biodiversité ordinaire dans vos jardins, préférez les espèces locales aux plantes exotiques. Les premières nécessitent moins d’entretien et contribuent à maintenir l’équilibre de l’écosystème. A contrario, les secondes présentent des risques pour l’environnement et les jardiniers amateurs de ces raretés sont souvent les propagateurs innocents de ces plantes envahissantes. Au point que cette végétation invasive est aujourd’hui considérée comme l’une des principales causes de la disparition de la biodiversité dans le monde.

J’ÉVITE LES TRAITEMENTS COMME LES PESTICIDES

On a réfléchi tout l’hiver à la disposition de son jardin, on a semé et planté au printemps, on est heureux de voir croître nos plantes qui ont fait l’objet de tant d’attentions… quand survient la maladie ou l’invasion de parasites ! L’utilisation de produits de traitement comme les pesticides est le premier réflexe pour s’en débarrasser. Or ils sont loin d’être toujours nécessaires et ils touchent tous les insectes, notamment ceux dits utiles – tels les coccinelles, les abeilles ou les papillons. Certains peuvent également représenter un danger pour les batraciens, les oiseaux et les mammifères, dont l’homme. Il est temps de faire confiance à son jardin sans intervenir à coups de pulvérisateur!
Plus d’informations sur www.jardinsdenoe.org
Cet article est extrait du numéro d’été de NEOPLANETE. Plus d’éco-gestes jardinage sur Neoplanete

http://www.20minutes.fr/article/741543/cinq-eco-gestes-cultiver-jardin

dimanche 12 juin 2011

Festival en Picardie Jardins en scène

Du 24 juin au 3 juillet, la Picardie invite à partager dix jours de fête au cœur de ses jardins ! Pour sa 3e édition, le festival Jardins en scène a encore concocté une programmation riche en surprises : dix-huit expériences artistiques inédites, des scènes culturelles innovantes et festives… au jardin !
Le temps du festival, les jardins de l'Aisne, l'Oise et la Somme deviennent le théâtre de performances d'artistes : trapézistes, musiciens, funambules, comédiens burlesques, chanteurs lyriques et danseurs feront vibrer grands et petits au rythme du Spectacle Vivant. En un mot, dix jours de fête qui sont autant d'occasions de week-ends au vert ! Il y en a forcément un à côté de chez vous. Voici ceux dans notre département :

4 Pylône ! par Les Noctambules
Imaginez un gigantesque pylône dans un parc : quelle surprenante rencontre ! Levez les yeux : les acrobates, funambules en apesanteur, s'élancent dans le ciel et prennent leur envol. Simplement vertigineux.
Le dimanche 26 juin, à 15 heures, à l'abbaye Saint-Jean-des-Vignes (Soissons).
4 La boîte noire et fantastique par la Compagnie du Berger
S'asseoir dans le noir, en petit comité… Pour vivre un florilège de nouvelles fantastiques, horrifiques et profondément humaines de Maupassant, Baudelaire, Jules Verne, Colette… Contrebasse, loupiotes et éclats de voix fournis.
Le samedi 2 juillet, de 15 à 18 heures, au Familistère Godin à Guise. Gratuit. Durée : 20 mn par séance (8 séances dans la journée). Réservation obligatoire. Capacité par spectacle : 15 personnes. Le spectacle est déconseillé aux enfants de moins de 10 ans.
4 Spartacus par le Théâtre de la Licorne
Installés dans l'arène, immergez-vous dans l'histoire : Spartacus contre Rome ! Esclaves, chars, éléphants, fauves et chanteurs lyriques s'affrontent dans une épopée péplum revisitée. Voir ces animaux de si près procure à la fois frissons et plaisir.
Samedi 25 juin et dimanche 26 juin, à 21 heures, au Fort de Condé à Chivres-Val. Tarif : 5 euros. Théâtre d'objets et péplum lyrique. Durée : 1 h 20. Capacité par spectacle : 150 personnes. Aucune entrée ou sortie ne sera autorisée pendant le spectacle.
4 Les Sisyphe par AIME
Sur la musique des Doors, laissez-vous gagner par la danse libre des artistes sur la scène. Une chorégraphie contagieuse qui gagne toutes les allées du jardin !
Dimanche 26 juin, à 15 heures, à l'abbaye Saint-Jean-des-Vignes à Soissons. Gratuit. Danse contemporaine. Durée : 20 mn.
4 Le Chœur régional de Picardie
Dans une cathédrale de verdure, choristes et musiciens interprètent Debussy et Berlioz. Des chefs-d'œuvre à ciel ouvert qui rendent les jardins magiques.
Dimanche 3 juillet, à 16 heures, à l'abbaye de Longpont. Tarif : 7 euros. Chant. Durée : 1 h 15.
4 L'Octuor de violoncelles
Des instruments aux vibrations basses, profondes, envoûtantes, proches de la voix humaine… Instants de vrai apaisement sur des musiques baroques et contemporaines.
Samedi 2 juillet, à 15 heures, au Familistère de Guise. Gratuit. Musique. Durée : 1 heure.
En savoir plus sur :
www.jardinsenscene-picardie.com
www.weekends-picardie.com

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/festival-en-picardie-jardins-en-scene

vendredi 10 juin 2011

jeudi 9 juin 2011

Vendez les produits de votre potager sur Internet

Un site pour vendre et acheter des surplus de production des jardins particuliers, ça existe, et c'est du bénéfice pour tout le monde…
Si vous n'avez pas de jardin, que vous trouvez les fruits et légumes du supermarché sans qualité ni saveur, et que les marchés et magasins bios sont trop chers à votre goût… Essayez cavientdujardin.com.

Si vous cultivez votre
jardin, que celui-ci est tellement fructueux que vous ne savez plus quoi faire de vos fruits et légumes… essayez aussi cavientdujardin.com.

Enfin un commerce qui ne vise pas le profit mais une juste répartition des biens, la recherche de la qualité et la limitation du gaspillage! Sur çavientdujardin.com, les particuliers peuvent vendre ou acheter des surplus de production des jardins amateurs, sans taxes - et c'est parfaitement légal, du moment que le jardin est attenant à la maison ou inférieur à 500 m2. Les avantages de ce commerce sont nombreux: les produits proposés sont écologiques (pas ou peu de produits chimiques), de saison,
locaux et peu onéreux, puisque les marges des intermédiaires sont supprimées. Et puis c’est plus convivial et ça change les habitudes (c'est toujours bon pour le moral).

Comment ça marche? Facile: si vous souhaitez vendre votre surplus, vous n'avez qu'à vous créer un compte qui vous permettra de passer vos annonces. Si vous souhaitez acheter des produits du jardin, vous pouvez consulter toutes les annonces grâce à une liste des produits, ou en faisant une recherche par produit et par département. Ensuite, vous entrez en contact avec les annonceurs qui vous intéressent, et il ne vous reste plus qu'à aller chercher le produit de votre choix, et parfois même le cueillir vous-même. Le service est entièrement gratuit, il vise avant tout à mettre en contact les particuliers. Le site publie aussi des annonces de producteurs professionnels, mais toujours dans une démarche locale et écologique.

+ d'infos :
cavientdujardin.com

http://www.20minutes.fr/article/737829/vendez-produits-potager-internet

mercredi 8 juin 2011

lundi 6 juin 2011

Le jardin, la nouvelle pièce à vivre de la maison

« Le jardin est désormais considéré comme une pièce à part entière de la maison. » Les professionnels du secteur sont unanimes : qu’il soit d’agrément ou potager (ou les deux), le jardin a pris une grande importance. « Les gens ont envie de se sentir bien chez eux, partout, même dans le jardin », explique un responsable de Gamm Vert Soelis, à Chalamont.
Alors on fleurit sa terrasse ou le bord de sa piscine comme si on décorait son salon. « D’après une étude Ipsos, les femmes ont pris les choses en main en matière de jardinage, révèle Emmanuelle Marvie, directrice du magasin Villaverde de Bourg. Les gens essayent d’assortir les plantes ou leur colori au mobilier ou aux volets de la maison, pour que cela soit homogène. »
L’engouement autour du jardin ne se limite pas simplement à l’aspect décoratif : « On recherche de plus en plus les produits sains, alors cela pousse à cultiver soi-même certains légumes. C’est toujours appréciable de consommer ce qu’on a produit. Et au niveau du goût, cela n’a rien à voir avec ce qu’on achète parfois en supermarché », ajoute Emmanuelle Marvie.
Tout ceci amène donc une nouvelle clientèle dans les jardineries. Qui va rechercher la facilité et l’efficacité. Des exigences fortement liées au lieu de résidence. En ville, les gens possèdent des terrains moins vastes qu’à la campagne, ou juste des terrasses ou balcons. Alors il faut s’adapter et miser sur des produits adaptés. « On va plutôt se tourner vers des plants – tomates, salades, fraises ou courgettes – plutôt que vers les graines », annonce encore la responsable de Villaverde. Et à ce petit jeu-là, les plantes aromatiques remportent la palme des achats. Quand, pour enjoliver l’extérieur, les arbres ou arbustes méditerranéens, comme l’olivier ou le palmier, sont de plus en plus prisés. Les haies de bambou commençant également à se développer. « Les gens essayent d’investir dans du durable, analyse Marie-Christine Vacheresse, de Jardins et plantes de Vonnas, qui produit la majeure partie de ses plantes. L’aspect économique est à prendre en compte. Ma clientèle est plutôt rurale, et dispose de grands jardins. Du coup, il y a un véritable engouement pour les plantes potagères de toutes sortes, qu’elles soient en graines ou en plants. »
Côté fleurs, si les géraniums et les rosiers sont toujours les leaders incontestés, toutes les jardineries remarquent que l’on s’oriente maintenant vers une mixité des variétés. « Les gens ne vont plus choisir une seule plante pour garnir leur massif ou jardinière, comme c’était le cas auparavant, constate Emmanuelle Marvie, de Villaverde. On privilégie les mélanges, avec par exemple des pétunias, des surfinias, et maintenant les dipladenias, qui sont économes en eau, facteur qui a eu son importance dernièrement. »
http://www.leprogres.fr/ain/2011/06/05/le-jardin-la-nouvelle-piece-a-vivre-de-la-maison
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samedi 4 juin 2011

Brécy / Rendez-vous aux jardins Dominique Martig dédicacera son recueil de poèmes

À Brécy, dans le cadre de la neuvième édition des « Rendez-vous aux jardins » (samedi et dimanche, 4 et 5 juin, de 15 à 19 heures), Le Clos-Joli, situé au 48, rue Montcet, proposera des animations à la gloire des bosquets et des parterres fleuris, notamment une démonstration de danse country.
Le site est un domaine classé parmi les dix plus beaux parcs et jardins de France.
Durant ces deux après-midi, Dominique Martig, habitante du bourg, élue super mamie de Picardie en 1999, dédicacera son premier recueil de poésie intitulé Mes pages en arc-en-ciel. Dans ces lignes, la fameuse grand-mère distille en première partie des louanges à la nature. Elle évoque la caresse du vent, les parfums et les saveurs de la mer, de la montagne et de la prairie.
Dans la seconde partie, la dame s'adresse à sa fille et livres quelques confidences sur : le cœur en révolte, l'amitié et la vieillesse.
Dominique Martig, mamie branchée sur le monde du spectacle travaille le chant et anime des spectacles pour enfants, pour des associations humanitaires.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/brecy-rendez-vous-aux-jardins-dominique-martig-dedicacera-son-recueil-de-poemes
Renseignements au : 03.23.71.23.05.
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jeudi 2 juin 2011